Université, composantes et services
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Parcoursup : continuer à communiquer et à rassurer

Trois semaines après les premiers retours délivrés aux candidats par la plateforme Parcoursup1, Benoît Tock, vice-président Formation, et Eva Louvet, doyenne de la Faculté de psychologie, dressent un bilan d’étape du nouveau dispositif d’accès aux études supérieures.

Nombre de vœux émis, de propositions acceptées, de « oui si », de vœux en attente (voir encadré)… : vous attendiez-vous à ces chiffres ?
Benoît Tock : Les trois-quarts des candidats ont eu au moins une réponse « oui » ou « oui si ». Nous pouvons dire que nous sommes dans une tendance normale, même s’il reste quelques inconnues, le dispositif étant dans sa première année de fonctionnement.
Eva Louvet :
On a beaucoup parlé du stress que cela induisait de se retrouver en liste d’attente pour les lycéens, en pleine période pré-bac. On ne le nie pas. Mais il faut rappeler qu’avec une moyenne de sept vœux par étudiant, cela fait sept fois plus de demandes que de candidats à la recherche d'une place ! Donc au fur et à mesure que les choix s’affinent, les places se libèrent. Ça va très vite !

Vous semblez donc optimistes pour la suite du processus…
B.T. : Effectivement, je pense qu’à la fin, peu de candidats se retrouveront sans proposition. S’il y en a, ce sera le résultat de mauvaises stratégies, à l’image de certains étudiants qui n’ont candidaté qu’à des filières sélectives. Au regard des chiffres actuels, nous estimons que peu de filières atteindront leur capacité d’accueil (exemple pour Staps : 304 vœux acceptés pour le moment, pour 540 places)*.
E.L. : Avec 3 000 demandes faites pour la licence de psychologie cette année, nous sommes dans la même tendance que l’année dernière. Grâce aux moyens alloués par le ministère, notamment un poste supplémentaire de maître de conférences, nous avons pu ouvrir cinquante nouvelles places. Avec 550 places au final, mais actuellement seulement 279* oui définitivement acceptés, nous sommes déjà assurés de chercher les candidats loin dans la liste d’attente !

Quels avantages voyez-vous à Parcoursup ?
E.L. : L’année dernière, en tant que filière « en tension », nous avons dû circonscrire notre recrutement aux élèves de l’académie. Le caractère dynamique du dispositif nous permet cette année d’ouvrir plus largement le recrutement à d’autres académies et à l’international.
B.T. : La mention « en attente » que certains lycéens ont à ce jour est une information importante. Le lycéen sait ce qu’une équipe pédagogique pense de son parcours, en adéquation avec les vœux formulés. Il faut garder à l’esprit que dans certaines filières, ce sont 40 % des étudiants qui abandonnent et cela se produit souvent très tôt dans l’année. 
Avec Parcousup, une relation s’établit entre le lycéen et les équipes pédagogiques pour travailler à une orientation pertinente et in fine favoriser la réussite. Nos dispositifs d’accompagnement et d’information auprès des lycéens seront encore à renforcer à l’avenir.
On en a aussi peu parlé, mais Parcoursup introduit également un élément de « justice sociale » absent d’APB, avec un taux de boursiers de lycée minimal à respecter pour chaque formation (de l’ordre de 8 à 15 %).

Comment s’est concrètement déroulé le travail des commissions pédagogiques en composantes ?
EL : Grâce à un outil d’aide à la décision, nous avons mis sur pied un paramétrage prenant en compte divers critères (bloc de notes littéraires/scientifiques, éléments de motivation et d’autonomie dans les Fiches avenir établies par les professeurs de lycée, notes au bac pour les candidats en réorientation). Cela nous a permis d’établir notre propre classement, en correspondance avec les attendus nationaux. Bien sûr, des éléments comme les notes en mathématiques ont été pondérés en fonction des filières. Un vrai travail de statistique, qui nous permettra sur le long terme d’ajuster ces critères en fonction du taux de réussite.

Quelles sont les prochaines étapes ?
BT :  A l’heure actuelle, les étudiants avec plusieurs « oui » doivent se positionner sous huit jours. Chaque semaine, de manière cyclique, ce sont de nouvelles places qui se libèrent. La phase complémentaire qui s’ouvrira début juillet permettra de proposer des solutions aux candidats sans affectation. Un travail étroit entre la commission académique d’accès à l’enseignement supérieur qui recevra les étudiants en entretien et dans un second temps avec la filière souhaitée s’engagera alors.

1 Mise en œuvre à l'Unistra avec le soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

Elsa Collobert et Frédéric Zinck

Parcoursup en cinq chiffres-clés
11 046
places offertes à l’Unistra, dont 967 en IUT.
68 562 vœux reçus
7 vœux en moyenne par candidat (10 maximum)
5 051* Nombre de propositions d’admission acceptées (sans autres vœux en attente)
11 715* Nombre de vœux encore en attente

* Chiffres actualisés au 04/06/2018

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L'appariteur, lumière sur un métier de l’ombre

Dans la galerie technique au rez-de-chaussée du Patio, le mobilier endommagé s’empile en attendant d’être évacué, les perceuses retentissent dans un vacarme fracassant tandis que les appariteurs de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali) s’affairent. Parmi eux, Malik Berrabah, le sourire aux lèvres et une matinée de travail déjà bien entamée derrière lui.

Le métier d’appariteur fait partie des métiers de l’ombre : il ne vient pas immédiatement à l’esprit lorsque l’on parle de l’université. Et pourtant, il est totalement indispensable à son bon fonctionnement. « Le terme d’appariteur est générique, les gens ne savent pas trop à quoi il correspond, explique Malik Berrabah. On s’occupe aussi bien des sanitaires que de mettre les amphithéâtres en bon état. On fait de la manutention, des travaux, on participe aux déménagements, on met en place les salles pour des événements… Notre travail permet aux enseignants de disposer de salles ou d’amphis en bon état et aux étudiants d’aller suivre leurs cours tranquillement. »
Le quotidien alterne entre tâches récurrentes et travaux plus ponctuels. Généralement, la journée commence par la tournée des amphis et des salles de cours, pour s’assurer qu’ils sont en mesure d’accueillir les usagers dans de bonnes conditions, que les craies ou les copies d’examens sont bien présentes. Le matériel audiovisuel est systématiquement testé : « Il vaut mieux régler les problèmes en amont plutôt qu’avec 300 paires d’yeux qui se posent sur vous. On devient très maladroit dans ce genre de situation ! » dit-il avec un large sourire.
« Nos tâches sont variées, on ne s’ennuie jamais, il n’y a pas de train-train quotidien. » La preuve par l’exemple avec les blocages de ce printemps, qui ont amené leur lot de tâches imprévues : déblayage des entrées de bâtiments, changement des serrures remplies de colle, installation de bureaux temporaires pour des services délocalisés, etc.
Durant les mois de juin et juillet, quand les étudiants ne sont plus présents, des travaux plus importants sont engagés : « On peut vérifier le mobilier dans chaque salle de cours, évacuer celui qui est trop abîmé, effacer les graffitis, faire des travaux de peinture... ».

Travail en équipe, polyvalence et courtoisie

Malik Berrabah n’est pas seul pour mener à bien toutes ces tâches. Il travaille en équipe avec trois autres appariteurs dans un secteur du campus Esplanade qui regroupe les bâtiments du Patio, du Portique, du Platane, du Nouveau Patio, de l’Escarpe et du Pangloss. Un territoire immense à couvrir, d’autant qu’il n’y a pas que les salles de cours qui rentrent dans leur périmètre : les bureaux des enseignants, les secrétariats, les sanitaires, les espaces communs en font également partie. « Il m’arrive de m’installer devant mon ordinateur, mais rarement plus d’une demi-heure ! » Le reste du temps, il le passe à arpenter son secteur : « On doit bien parcourir quatre à cinq kilomètres par jour, rien qu’en se déplaçant au sein des bâtiments ! ».
Les demandes d’interventions sont centralisées auprès de la Dali, puis envoyées aux appariteurs dans chaque secteur. Malik Berrabah communique également avec la Direction du patrimoine immobilier (DPI), en tant que référent technique, pour signaler les travaux plus importants qu’il faudrait entreprendre sur le bâti.
« Pour exercer le métier d’appariteur, il faut être polyvalent, être courtois avec les usagers, honnête aussi pour indiquer ce qui est faisable ou pas parmi les demandes qu’on reçoit. Souvent, on est appelés pour déplacer un meuble ou accrocher un tableau blanc au mur et lorsqu’on se trouve sur place, on nous demande de réaliser d’autres petits travaux. »
Et comme si toute cette activité ne lui suffisait pas, Malik en profite pour faire du sport pendant sa pause de midi : soit de la musculation, soit de la course à pied. « Je suis comme ça, il faut que je sois toujours en mouvement. » Et toujours avec le sourire : « Il faut être avenant. Avoir un bon contact, c’est important ! »

Edern Appéré

Lire les précédents épisodes de la série consacrée aux métiers de la Dali :

- L'impression numérique, c'est pas automatique ! (L'Actu 155)

- Un « petit » royaume de 116 salles (L'Actu 153)
- Au pôle Entretien, on n’essuie pas les plâtres ! (L'Actu 151)
- Maître des clés, fonction-clé (L'Actu 149)
- L’accueil est un métier qui suppose qu’on ait envie de rendre service (L'Actu 147)

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L’université se dote d’un comité d’éthique pour la recherche

Le comité d’éthique pour la recherche, tout juste créé, vient compléter les instances et démarches existantes à l’université sur la question de l’éthique et de la déontologie de la recherche. Son champ d’action portera sur les projets de recherche non-interventionnelles impliquant la personne humaine. La recherche non interventionnelle est une recherche qui ne comporte aucun risque ni contrainte et dans laquelle tous les actes sont pratiqués, et les produits utilisés, de manière habituelle.

Le rôle du comité d’éthique d’établissement consiste à donner un avis sur les protocoles de recherche pour assurer le respect des personnes, de la réglementation, de la protection des données, de la méthodologie. Il pourra être saisi par les chercheurs sur de nouveaux protocoles, parfois à la demande d’organismes financeurs ou de revues scientifiques. Le comité réalisera également une veille concernant l’évolution législative et réglementaire sur son champ d’action et sera en lien avec les comités du même type dans les universités au niveau national.
Ce comité pluridisciplinaire concerne les recherches non interventionnelles impliquant la personne humaine, hors du cadre de la loi Jardé qui régit les recherches médicales. Il concerne principalement des recherches en sciences humaines et sociales, mais aussi des protocoles en sciences de la vie et technologies, notamment lorsqu'ils mettent en œuvre des enquêtes et questionnaires auprès des personnes.
Il ne concerne pas la recherche animale, ni la recherche interventionnelle sur l’homme, qui disposent toutes deux de leurs propres comités d’éthique. De même, les questions déontologiques sont prises en charge à l’université par la cellule Déontologie et recherche.

Les dossiers seront expertisés, le comité rendra un avis ou produira des recommandations

Placé sous la responsabilité de la vice-présidence Recherche et formation doctorale, ce comité se compose de 26 membres : quatorze représentants d'unités de recherche concernées par la recherche non interventionnelle sur l’homme, la correspondante de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), des représentants du Service juridique, du comité d’éthique des facultés de santé, des Hôpitaux universitaires de Strasbourg, du Comité de protection des personnes, de la Direction de la recherche et de la valorisation… Sa présidente, Céline Clément, et sa vice-présidente, Dominique Guenot, ont été élues le 11 avril pour trois ans renouvelables.
Le comité met à disposition un formulaire de soumission à renseigner par les unités de recherche qui souhaitent le saisir. Les dossiers sont examinés par le comité préparatoire qui se prononce sur la qualification de la recherche et vérifie son caractère non interventionnel (la demande peut être orientée vers d’autres comités compétents du site si nécessaire). Les dossiers à examiner sont alors expertisés et donnent lieu à un avis et/ou à des recommandations.

Caroline Laplane

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Une cérémonie pour les 464 nouveaux docteurs de l'université

220 docteurs sur les 464 diplômés devraient assister à la cérémonie du 22 juin (photo archive).

Les diplômés 2017 de doctorat seront mis à l'honneur lors d'une cérémonie au Palais universitaire, vendredi 22 juin. Cette promotion est placée sous le haut parrainage de Linos-Alexandre Sicilianos, vice-président de la Cour européenne des droits de l’Homme, docteur de l’Université Robert-Schuman de Strasbourg (promotion 1990).

À cette occasion seront également remis 19 prix de thèses et cinq prix mémoires de master, récompensant les travaux les plus prometteurs soutenus en 2017, dans tous les domaines.

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La nouvelle Espé célébrée

Lors de la table-ronde organisée le matin dans le bâtiment du campus historique, puis la coupure de ruban en présence de Philippe Clermont, directeur de l'Espé, Michel Deneken, président de l'université, Sophie Béjean, rectrice, et Pascal Marquet, doyen de l'ex-Faculté des sciences de l'éducation.

Le soleil et les invités étaient au rendez-vous, mercredi 6 juin, pour fêter la nouvelle École supérieure du professorat et de l'éducation (Espé). Celle-ci fonctionne déjà comme une structure unique depuis le 1er janvier 2018.

La matinée, sur le campus historique, a permis à Michel Fayol (professeur émérite), Stéphane Bonnéry (professeur des universités, Université Paris), Jacques Ginestié (président du réseau des Espé) et Céline Clément (directrice adjointe en charge de la recherche à l'Espé) de débattre sur les recherches en éducation et leurs liens avec la formation. L’après-midi s’est poursuivi sur le campus de la Meinau avec les discours officiels, puis des présentations de travaux d’étudiants (doctorat et master) ainsi qu’une table-ronde sur les métiers du conseil pédagogique.
Lors de son discours, Philippe Clermont a rappelé les enjeux de l’union des deux composantes – Espé et Faculté de sciences de l’éducation – formant la nouvelle Espé, visant « à donner à l’Université de Strasbourg le proche équivalent d’une Faculté d’éducation, telle qu’on peut en trouver dans bien des pays étrangers. Les masters des métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation, les licences et les autres masters, notamment de Sciences de l’éducation, constituent aussi une offre lisible et unifiée en direction des étudiants, des personnes en quête de développement professionnel, et qui se destinent aux métiers adressés à autrui dans le champ de l’éducation et de la formation. Cela signifie également la possibilité accrue de développer des recherches en éducation ».
Jacques Ginestié a mis l’accent sur l’articulation entre la recherche, le terrain et le caractère professionnalisant et universitaire des formations dispensées par l’Espé.
Michel Deneken, président de l’Université de Strasbourg, a insisté sur la nécessité de « jouer collectif » pour réussir la nouvelle Espé, qui ne peut y parvenir qu’avec ses différents partenaires.
Sophie Béjean, rectrice de l’académie de Strasbourg, a notamment évoqué l’importance de la formation des enseignants bilingues dans l’académie, ainsi que les toutes dernières annonces faites par Jean-Michel Blanquer au sujet de la formation des enseignants, dont l’éventualité de modifier la place du concours.

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Offrez un nouveau souffle à vos cartes de visite !

Crédit : Valentin Gall

Pour diffuser et porter haut les couleurs de leurs structures, les personnels de l’université disposent de différents supports de communication, dont les incontournables cartes de visite et de correspondance, déclinées à partir de deux modèles proposés sur la boîte à outils du langage visuel (générique ou personnalisé).

Vous avez besoin d’une carte de visite ou d’une carte de correspondance ? Votre correspondant communication centralise les demandes et assure le lien avec l'imprimerie de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali). N’hésitez pas à le solliciter pour passer dès maintenant au langage visuel !

  • Pour connaître l'identité du correspondant communication de votre structure, contactez Tania Elias (Service de la communication)
  • Beaucoup de réponses aux questions que vous vous posez sur le langage sont déjà dans la boîte à outils
  • Pour toute autre question concernant le déploiement du langage : langagevisuel@unistra.fr

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Soirée club des partenaires de l’IUT Robert-Schuman à la Meinau

Pour son deuxième évènement, le Club des partenaires de l’IUT Robert-Schuman s’est intéressé à la féminisation des métiers, en invitant les partenaires à assister à la finale de la Coupe de France féminine, jeudi 31 mai, au stade de la Meinau à Strasbourg, opposant l’équipe de foot féminine du PSG à celle de l’Olympique lyonnais.

Avant le match, les partenaires du club se sont retrouvés pour une conférence sur la féminisation des métiers en compagnie d’Albert Gemmrich, président de la Ligue du Grand Est de football, Germain Zimmerlé et Bernard Lickel, respectivement président et directeur de l’IUT Robert-Schuman.
Sont intervenus Virgile Curtit, directeur de l’Institut de recherche et de formation du Grand Est, Isabelle Kraus, vice-présidente déléguée Égalité-Parité de l’Université de Strasbourg (photo) et Sandrine Ringler, en charge de la féminisation de la Ligue de football.

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Kids’ University ou comment partager sa recherche avec des collégiens

Préparer et animer un atelier de 45 minutes, dont l’objectif est de donner à des collégiens un aperçu de leur domaine de recherche : tel est le défi que des doctorants et jeunes chercheurs de l’Université de Strasbourg relèvent chaque année, dans le cadre de l’opération Kids’ University, proposée par le Jardin des sciences.

Vendredi 25 mai, seize jeunes chercheurs de disciplines aussi variées que la chimie, le nanomagnétisme et la physique quantique, les neurosciences, le droit de l’environnement, la sociologie ou la biologie se sont prêtés au jeu. Ils ont ainsi pu faire découvrir à la centaine de collégiens présents quelques aspects de leur quotidien : les questionnements à l’origine du sujet de thèse, leur démarche ou même le matériel utilisé dans leur laboratoire.
Accompagnés par l’équipe du Jardin des sciences, les doctorants ont préparé pendant plusieurs mois leur support et leur discours. Leur participation au projet s’intègre aux formations transversales suivies au cours de leur cursus. Leur bilan de cette expérience ? Des échanges riches avec les élèves, qui se sont avérés curieux, intéressés et impliqués.
Pour ces derniers, la journée était aussi l’occasion de découvrir les lieux du quotidien d’un étudiant : cours magistral en amphithéâtre à l’Institut Le Bel ou encore déjeuner au restaurant universitaire.

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Une première édition prometteuse du festival Démostratif

Crédit : Artus

La première édition de Démostratif*, festival universitaire des arts de la scène, s’est achevée vendredi 25 mai, après quatre journées ensoleillées très denses et pleines d’illusions, rythmées par trois spectacles dont deux créations, quatre concerts, un colloque et quatre petites formes, dont deux inédites.

Cet événement a accueilli 460 spectateurs pour les spectacles en soirée, étudiants comme public extérieur. Les manifestations extérieures ont permis d'attirer notamment des passants, intrigués par les installations et le son.
Pas moins de 34 étudiants-artistes venus du Grand Est et ses alentours (Thionville, Dijon et Paris) ont été accueillis à Strasbourg par les organisateurs de l'association étudiante Artus (Théâtre universitaire de Strasbourg), pour donner à voir leurs créations. Tous font partie d’une des trois compagnies programmées : le collectif (EN)sensible, le Théâtre universitaire de Dijon et la compagnie La corde sensible. Les étudiants de l’Université de Strasbourg étaient également à l’honneur, à travers les petites formes proposées. Enfin, sept textes ont été écrits à partir du fil rouge « l’illusion collective », dont l'un, Mai-Days, par Thierry Simon, auteur associé au festival.

* A bénéficié du soutien de l'Initiative d'excellence, dans le cadre des Investissements d'avenir.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2018

 Juin Juillet
Conseil académique (CFVU+CR)
14 h - Mardi
 / /
Congrès (CA+CFVU+CR+CTE)
14 h - Mardi
 26 /
Conseil d'administration (CA)
14 h - Mardi
 26 3
Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU)
14 h - Mardi
 19 4
Commission de la recherche (CR)
14 h 30 - Mercredi
 13 /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 5 /
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 29 /
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 9
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 4 /
Comité technique d'établissement (CTE)
 28 /
Conseil académique restreint (CACr)*
 8 9-12
Conseil d'administration restreint (CAr)**
 8 /
* À 9 h (juin), à 13 h (juillet)
** À l'issue du CACr

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